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Lauréats du Prix jeunesse des libraires du Québec 2021


Décès du poète Philippe Jaccottet


Gabriel Osson remporte le prix Alain-Thomas

Une suggestion de Les libraires

Après plusieurs mois d’absence, Vincent est de retour à Tokyo pour assister aux funérailles de Suzuko, la femme coup de foudre qui lui a fait abandonner Montréal sur un coup de tête deux ans plus tôt. Comme si les pluies froides de janvier n’étaient pas déjà assez propices à la mélancolie et au vague à l’âme, Vincent décide de s’installer dans l’appartement du quartier Sumida qu’ils ont partagé ensemble. Transi dans tous les sens du terme, Vincent erre dans la ville, croyant apercevoir à chaque détour le fantôme de sa belle. Ses amis artistes s’inquiètent pour lui, jusqu’à ce qu’il fasse la rencontre de la mystérieuse Kana lors d’un vernissage dans une galerie de Ginza. Superbe livre sur l’absence et la perte de repère, mais aussi ode au désir et à l’amour passionnel, ce troisième roman de Vincent Brault est une proposition littéraire comme on en voit peu au Québec. La trame principale pourrait rappeler le travail de Ying Chen et Aki Shimazaki, mais avec des influences comme Hiromi Kawakami (Manazuru, Le temps qui va, le temps qui vient) et Yoko Ogawa (La formule préférée du professeur, L’annulaire). On bascule nécessairement dans un univers où les frontières entre le réel et le rêve sont des plus troubles. L’animisme japonais y est traité avec beaucoup de doigté, ce qui fait en sorte que même les éléments les plus étranges et excentriques du récit nous semblent aller de soi, parfaitement naturels.